SPHM Infos
Appel à communications, 5ème Congrès de l’AFS, « Les dominations », Nantes, 2 au 5 septembre 2013
Appel à communications du Réseau Thématique « Sociologie des médias » (RT 37)
Construction, circulation, subversion des rapports de domination dans les
médias ?
Les dominations constituent le thème du 5ème congrès de l’AFS. Elles
peuvent être définies comme un ensemble de rapports sociaux qui segmentent
et hiérarchisent les individus et les groupes, structurent leur
dissymétrie, et contribuent au figement tendanciel d’un « ordre social ».
Cette question paraît pertinente à traiter en sociologie des médias pour
plusieurs raisons. Tout d’abord, elle permet d’interroger les médias au
sens large (imprimés, audiovisuels et en ligne) du point de vue de leur
structure organisationnelle en questionnant leurs modes de fonctionnement,
les pratiques professionnelles et les processus de hiérarchisation et de
discrimination qui y sont à l’œuvre. Elle autorise ainsi une réflexion sur
les relations entretenues entre les acteurs des sphères liées aux médias,
la définition voire l’institutionnalisat ion des figures d’autorité ou
d’expertise ou encore les rapports de genre.
Aborder les médias sous l’angle des dominations permet aussi d’ouvrir des
discussions relatives à l’économie politique des médias et à ses enjeux
sociaux. Ensuite, la question des dominations peut également être
appréhendée par l’intermédiaire des contenus médiatiques, deux accès
principaux sont alors possibles : d’une part, l’analyse de la
représentation médiatique des formes de domination sociale permet de
convoquer notamment les problématiques liées au genre, à la représentation
des « groupes subalternes » ou aux formes de résistances ; d’autre part,
la focalisation sur les contenus offre la possibilité de comprendre
comment les médias contribuent non seulement à la circulation des normes
sociales dans la sphère publique mais également à leur constitution, via
notamment la prépondérance de certains programmes dans le paysage
médiatique ou l’émergence de nouveaux dispositifs informationnels. Enfin,
la question du (des) public(s), centrale en sociologie des médias, l’est
particulièrement pour ce thème.
Si les recherches concernant la domination des médias de masse sur la «
foule » et leur influence sur l’opinion publique ont longuement été
discutées, la question d’une possible influence médiatique reste
d’actualité, que ce soit d’un point de vue politique, économique ou
social. En effet, on accuse encore aujourd’hui les médias de produire un
discours stéréotypé, orienté, susceptible de « construire » l’opinion
publique, alors même que les nouvelles pratiques médiatiques tendent à
déconstruire ce postulat. S’il n’est pas ici explicitement question de
relation dominant-dominé , la question des dominations reste au cœur des
réflexions sur les liens entretenus entre les médias et leur(s) public(s).
Ceux-là apparaissent en effet comme des outils de communication
ambivalents, capables d’entretenir une certaine stabilité des relations de
dominations préexistantes dans la société mais, dans un même temps,
d’incarner un instrument de résistance, voire de libération, par rapport à
ces formes de dominations.
Ainsi, les sessions du réseau thématique « sociologie des médias » seront,
cette année, l’occasion de réfléchir aux inégalités et aux processus de
hiérarchisation et de segmentation au sein des professions, sur le marché
des médias, dans les usages du public et au sein des contenus médiatiques.
Les analyses pourront porter aussi bien sur les médias traditionnels
(supports imprimés et audiovisuels) que sur les médias en ligne (presse en
ligne, plateformes de blogs, agrégateurs de contenu, etc.) et les
technologies qui leur sont associées. Nous attendons de chaque
communication qu’elle s’appuie sur une enquête empirique (à partir de
méthodes qualitatives et/ou quantitatives) , opte pour un cadre théorique
(quel qu’il soit) et cherche à s’inscrire dans les débats actuels. Les
propositions de communications pourront s’inscrire dans trois axes
structurant la réflexion à ce sujet.
Axe 1 : La configuration des relations professionnelles dans les
organisations médiatiques
Ce premier axe ambitionne de ré-interroger et de mettre au jour la
diversité de l’expression des formes de domination, explicites ou
implicites, en lice au sein des organisations médiatiques tant au niveau
des relations sociales que des pratiques professionnelles. Ainsi, il
s’agit d’étudier d’une part des trajectoires d’acteurs, d’autre part
d’interroger les relations entre acteurs pour en faire émerger des formes
ou expressions de la domination en contexte professionnel.
Pourront ainsi être questionnées dans un premier temps les modalités
d’accès aux professions. Que ce soit dans le milieu journalistique ou au
sein des industries culturelles en général, on constate de fortes
inégalités d’accès. Qu’est ce qui, en pratique, suscite ces inégalités ?
Quel rôle jouent les représentations des professions dans leur
développement ?
Parler d’inégalité d’accès ne suffit pas à rendre compte des processus de
domination à l’œuvre dans les organisations professionnelles, on observe
en effet un phénomène de précarisation qui touche à la fois les
organisations médiatiques traditionnelles – comme en témoigne le recours
aux formes d’emploi atypiques dans l’audiovisuel et organisations de
presse – ainsi que les organisations associées aux médias en ligne – où
l’incitation à la polyvalence et à la flexibilité est très forte. Cette
précarisation induit des effets sociaux qu’il est important d’étudier pour
mieux comprendre les processus de production médiatique.
Ensuite, dans une perspective d’analyse sociologique des acteurs
professionnels, une réflexion sur l’identité permettrait de mieux
comprendre comment se structurent certains groupes professionnels, comment
ils se démarquent, comment ils se définissent au sein des organisations et
se positionnent symboliquement les uns par rapport aux autres. Dans
certaines organisations médiatiques, on observe ainsi souvent une forte
hiérarchisation entre les professionnels qui travaillent pour un support
traditionnel (imprimé ou audiovisuel) et bénéficient d’une forte
reconnaissance alors que les professionnels travaillant pour le web et les
nouveaux supports font face à un relatif déclassement. Dans quelle mesure
cette hiérarchisation impacte-t-elle l’accès et le rapport aux sources ?
Quels sont les effets de légitimation induits ? Partir des acteurs
professionnels permet de cerner la manière dont les individus conçoivent
leur métier et leurs relations aux autres.
Depuis maintenant plus d’une décennie, les médias ont à la fois contribué
et été confrontés à l’affirmation de la figure de l’« amateur » producteur
et diffuseur de contenus médiatiques. Cela prend la forme de prises de
parole d’auditeurs ou de téléspectateurs à la radio ou à la télévision,
mais cela a connu une extension considérable avec le développement des
médias en ligne : journalisme participatif ; artistes amateurs diffusant
leurs contenus sur les plateformes de partage ; téléspectateurs commentant
les émissions sur les médias sociaux ; internautes classant et diffusant
leurs contenus médiatiques préférés sur les plateformes d’échange, etc. Ce
phénomène pose de nombreuses questions. Dans quelle mesure l’essor des
contributions affecte-t-il la ligne de partage entre amateurs et
professionnels ? De quelles manières l’incitation à inclure le
lecteur/téléspectateu r/auditeur/ internaute transforme-t- elle le processus
de production des contenus ? Dans le domaine journalistique, cette
inclusion de la « parole profane » dans la chaîne de production
éditoriale, répondant à un impératif participatif et parfois contrainte
par une charte éditoriale, ne conduit-elle pas à interroger la légitimité
et l’autonomie des journalistes à parler au nom du public et à redéfinir
plus largement leurs fonctions ? Plus généralement, ces évolutions
induisent-elles un desserrement ou un renforcement des formes des
dominations ?
Finalement, la question de la hiérarchisation est centrale quand on
questionne les processus de domination en organisation. Dans les
organisations médiatiques, cette hiérarchisation est-elle explicite ou
implicite ? Peut-elle mettre à jour des processus de domination entre
services mais également entre fonctions ou entre individus ? Peut-on
observer des processus de segmentation professionnelle en termes de
classes, race ou genre ? Cette dernière interrogation est un des points
clés des réflexions sur les processus de domination à l’œuvre dans les
organisations, en ce qu’elle permet de porter un regard nouveau sur les
processus de sélection, les carrières et l’accès aux responsabilité s des
acteurs professionnels.
Axe 2 : Les enjeux sociaux de l’économie politique des médias
Ce deuxième axe de problématisation vise à appréhender la question de la
domination à une autre échelle, et notamment en regard de la
(re)structuration globale à l’œuvre dans le secteur des médias. Plusieurs
tendances de fond participent à la redistribution, depuis quelques années,
des rapports de pouvoir entre les organismes professionnels des médias et
contribuent à l’émergence de nouveaux modèles économiques suscitant la
redéfinition des formes traditionnelles de domination. Cet axe tend à
conjuguer une approche diachronique à une approche plus synchronique afin
de saisir avec plus d’acuité encore la réalité des changements structurels
et organisationnels des médias dans cette phase de recherche de nouveaux
modèles économiques. Il s’agit tout d’abord de s’interroger sur les effets
sociaux de la logique de concentration qui touche les organes de presse et
les groupes audiovisuels. Le développement intensif de « grands groupes »
en France – et en Europe – réorganise de façon implicite les rapports de
forces dans le champ médiatique et plus largement des industries
culturelles. Il semble que l’économie des médias soit alors de plus en
plus régie par une logique de concurrence monopolistique. De quelle façon
cette évolution entraîne-t-elle une nouvelle hiérarchisation des organes
de presse et quelles conséquences en découlent au niveau des productions
médiatiques ? La domination implicite des grands groupes est-elle
sanctionnée par une régulation ou une réglementation entérinant un nouvel
ordre économique dans le champ des médias ? Quelle place peuvent alors
prendre les maisons de production ou les labels indépendants et les
maisons d’éditions autonomes ? Quels sont les effets de cette dualisation
de l’espace médiatique ? Ainsi que des multiples formes de sous-traitance
(agences de presse, de communication, fournisseurs de contenus) et
d’externalisation qui se développent ?
Conjointement à cette tendance à la concentration, il s’agit de prendre en
compte les conséquences du développement du web dans l’économie politique
des médias. Alors que les logiques de dominations sont traditionnellement
liées à des logiques de légitimation dans la sphère médiatique, le
développement du web semble ajouter à ce phénomène, des stratégies de
visibilisation. On peut ainsi s’interroger sur le rôle majeur que jouent
aujourd’hui les moteurs de recherche, agrégateurs et réseaux sociaux dans
la diffusion de l’information. Cela favorise-t-il la mise en place d’un
nouveau modèle économique reposant sur une concurrence exacerbée dans
l’accès à la visibilité ? Dans quelle mesure la présence et la visibilité
sur internet favorise-t-elle l’acquisition d’une position dominante dans
le monde des médias ? Quels éléments conditionnent cet accès à la
visibilité ? Quelles stratégies les journalistes ou les professionnels des
médias mettent-ils alors en œuvre pour gagner cette visibilité ? Tout
particulièrement, le recours aujourd’hui très important aux pratiques
marketing visant à capter l’audience (optimisation pour les moteurs de
recherche et les sites de réseaux sociaux, valorisation des articles sur
le site en fonction du nombre de vues, système de notation ou de sanction
des articles par les internautes ou la rédaction) dans les organisations
médiatiques pose de nombreuses questions : de quelle manière ces pratiques
sont-elles institutionnalisé es par les organisations médiatiques ? Cela
affecte-t-il la structure des rapports hiérarchiques au sein des
rédactions et les pratiques professionnelles ? Cette recherche de
visibilité est un enjeu fort pour des groupes médiatiques cherchant à
exister au delà de l’espace médiatique traditionnel. En effet, internet
offre la possibilité de s’affranchir des contraintes des groupes
médiatiques dominants en proposant de décentrer l’attention du public.
Ainsi, certains groupes qui cherchent à s’affirmer en tant que source
d’information sans avoir l’appui des médias « dominants » trouvent en
internet un potentiel d’émancipation qui leur permet de s’inscrire dans un
régime de production d’information alternative. Ce sont ces formes de
résistance abordées d’un point de vue organisationnel qu’il s’agit
également d’interroger dans cet axe.
Axe 3 : Usages des médias et effets de représentation.
L’enjeu de cet axe est de définir en quoi la question des usages et des
pratiques dans les médias permet de réinterroger la question de la
domination. Deux points paraissent particulièrement saillants : la
production de dominations sociales est-elle
reproduite/aggravé e/transformé e par les inégalités dans les usages ? Quels
rapports entretient-elle avec les contenus proposés par les médias et leur
réception ? La question des inégalités se pose de manière forte lorsqu’il
est question des usages des médias. En effet, plusieurs niveaux
d’inégalités pèsent sur les usages des techniques d’information et de
communication. Il persiste encore des habitudes de « non usages » sur
lesquelles il serait intéressant de se pencher -, de « fossé numérique »
dans la palette des pratiques ou dans la perception qu’ont le public et
les médias de leurs propres pratiques. Il importe donc d’interroger le
sens et la nature de ces usages ou non usages. Les inégalités d’accès
d’abord, avoir accès ou ne pas avoir accès à tel ou tel média. Si cette
ligne de fracture a été particulièrement étudiée sur le numérique, elle
n’en est pas moins présente pour l’ensemble des médias. Les inégalités de
compétences, ensuite, savoir utiliser ou ne pas savoir utiliser. Ces
compétences sont inégalement distribuées entre les individus. Ce « skill
gap » introduit-il alors une forme de hiérarchisation entre les usagers,
basée sur la maîtrise de compétences singulières ? Quelles sont les
compétences particulièrement discriminantes ? Peut-on identifier des
usagers « dominants », pourvu des « bonnes » compétences ? Et sont-ils
représentatifs de l’ensemble des
lecteurs/auditeurs/ téléspectateurs/ internautes ?
La question de la domination à travers les inégalités d’usages peut être
complétée par l’étude des contenus des productions médiatiques. Deux
approches complémentaires permettent de cerner cette problématique : la
question des représentations et celle de la réception.
Les médias, en tant qu’« espace représentationnel », produisent, via la
mise en place de dispositifs, des contenus qui peuvent véhiculer ou
produire des conventions sociales ou des stéréotypes. Par quels processus
ces stéréotypes illustrent-ils, ou stabilisent- ils des rapports sociaux de
domination existant hors de la sphère des médias ? Il ne s’agit pas de
voir ici uniquement le côté « conservateur » ou « répliquant » des médias,
mais aussi de chercher à appréhender la capacité de résistance ou de
subversion des médias en s’interrogeant par exemple sur les mécanismes de
productions de « contre-stéréotypes ». Comment des « contre publics
subalternes » investissent les médias afin de contester l’ordre
hégémonique ?
D’une manière générale, on pourra s’interroger sur la réalité des
pratiques qui ont accompagné l’essor des médias en ligne et qui ont
également touché les médias traditionnels. Internet a originellement été
construit comme un espace décentralisé permettant la contribution de
chacun. Or c’est un fait établi par les sciences sociales qu’une petite
minorité d’individus contribuent systématiquement à l’immense majorité des
contenus médiatiques postés en ligne. Comment expliquer ce phénomène ?
Dans quelle mesure peut-on néanmoins observer que des individus mettent à
leur profit les médias en ligne pour retourner la domination dont ils sont
l’objet et s’aménager des espaces d’émancipation ?
L’usage de ces médias affecte-t-il la formation des identités
individuelles et collectives ? On pourra également étudier les nouvelles
asymétries qui sont aujourd’hui produites, entretenues et critiquées dans
les médias en ligne. Ainsi, les algorithmes de classement des contenus,
lorsqu’ils favorisent par exemple les contenus les plus populaires,
affectent négativement la visibilité de certains contenus moins
populaires. Plus largement, les métriques d’audience, qui sont aujourd’hui
si répandues dans les médias et tout particulièrement en ligne, pourront
être interrogées à la fois dans leurs effets sur les usages et
l’homogénéisation des contenus.
En ce qui concerne les informations, on peut également s’interroger sur la
manière dont les individus perçoivent une éventuelle différence de
légitimité ou de crédibilité des différentes sources auxquelles ils ont
accès (imprimées, audiovisuelles, nées en ligne...). Cela contribue-t- il à
renforcer ou à restructurer les logiques de hiérarchisation sociale et les
représentations dominantes de la société ? L’usage d’internet permet-il
aux individus de pallier au manque d’information critique en proposant des
espaces de diffusion d’information tels que des sites internet militants,
des espaces de « libre » expression aussi tels que les forums qui
apparaissent parfois comme des lieux d’affirmation identitaire et
idéologiques ?
La deuxième approche est celle de la réception : comment les individus se
positionnent- ils par rapport aux normes que les médias leur proposent ?
Dans quelle mesure ces normes sont-elles intégrées, interrogées, mise à
distance par les publics ? Quelles stratégies les médias mettent-ils en
place pour faciliter et encadrer la réception de leurs contenus ? En
regard, l’orientation, par la rédaction, du lecteur sur le site
médiatique, la modération des propos des internautes et la création de
communautés de lecteurs interroge la notion même d’encadrement «
pédagogique » du lecteur et renouvelle les questionnements autour des
avatars de la domination implicite ou explicite mis en place. Enfin,
l’émergence de dispositifs de participation collective dans les médias,
via les réseaux sociaux, la couverture live entre autres qui reprennent
des dispositifs participatifs éprouvés tels que le chat ou le direct, met
en tension des notions qui questionnent la fonction classique de
gatekeeping des médias et les modalités d’une information prise dans une
logique de flux, de délinéarisation. Les usages et les représentations qui
sont liés à ces dispositifs dits « innovants » sont-ils impactés par
l’accélération de la circulation de l’information ou bien ne sont ils
qu’une réplique d’usages et de représentations pré existants ?
Les études sur la réception ont insisté sur la capacité des individus à
produire leurs propres interprétations des contenus médiatiques, souvent
en opposition avec les intentions de leurs producteurs originels. Ce
faisant, elles ont constitué en objet d’étude les productions dites « fans
» qui sont aujourd’hui très nombreuses sur internet (les « fans fictions »
par exemple). Dans quelle mesure ces productions fans constituent- elles
des détournements des productions médiatiques mainstream ? Cela
engage-t-il des formes de contestation des autorités parentales, scolaires
ou plus largement institutionnelles ?
Modalités de soumission
Les propositions de communication (environ 5000 signes, espaces compris,
bibliographie non comprise) devront comporter :
une présentation de la problématique traitée et l’axe à laquelle elle se
rapporte ;
une présentation du terrain et de la démarche empirique mise en œuvre
ainsi que du cadre théorique d’analyse mobilisé ;
une bibliographie succincte.
Elles devront être envoyées par courriel au plus tard le 11 janvier 2013 à
rtmedias2013@yahoo.fr, et répondre aux normes suivantes :
Nom, prénom du/des auteur-e-s
Institution de rattachement
Adresse mail
Intitulé de l’axe dans lequel s’inscrit la proposition
Titre de la communication
Résumé de la proposition
Merci de bien vouloir indiquer en objet de votre message : « RT37
proposition ».
Les propositions de communication feront l’objet d’une évaluation en
double aveugle par les membres du comité scientifique.
Les auteurs seront notifiés des résultats de la sélection des propositions
le 22 mars 2013.
Pour les propositions retenues, un résumé de 1500 signes sera demandé pour
le livre du Congrès. Les textes définitifs (45 000 signes, espaces
compris) devront être remis au plus tard le 1er juillet 2013.
Conseil scientifique
Gilles Bastin, IEP de Grenoble, PACTE
Anne-Sophie Béliard, Université Paris3-Sorbonne Nouvelle, CIM
Jerôme Berthaut, Université de Limoges, GRESCO
Jean-Samuel Beuscart, Orange Lab / SENSE – LATTS
Gersende Blanchard, Université Lille 3, GERIICO
Julien Duval, EHESS, CESSP-CSE
Cégolène Frisque, Université de Nantes, CRAPE
Vincent Goulet, Université de Lorraine, CREM
Nicolas Kaciaf, Université Versailles Saint-Quentin, VIP
Eric Lagneau, AFP, EHESS / GSPM
Aurélia Lamy, Université Lille 1, GERIICO
Yannick Lebtahi, Université Lille 3, GERIICO
Cyril Lemieux, EHESS, GSPM
Christine Leteinturier, Université Paris 2-Assas, CARISM
Eric Maigret, Université Paris 3 – Sorbonne nouvelle, LCP.
Arnaud Mercier, Université de Lorraine, CREM
Sylvain Parasie, Université Paris Est/ Marne-la-Vallé e, LATTS
Nathalie Pignard Cheynel , Université Grenoble 3, CREM
Philippe Riutort, Lycée Henri IV, GAP-LCP
Brigitte Sebbah, Université Paris Est Créteil, Cecoppop/Largotec - Julie
Sedel, Université de Strasbourg, GSPE
Nikos Smyrnaios, Université Toulouse 3, LERASS
Cédric Terzi, Université Lille 3, GERIICO
Isabelle Veyrat-Masson, Université Paris IV, LCP
Comité d’organisation
Anne-Sophie Béliard, Université Paris 3, CIM
Gersende Blanchard, Université Lille 3, GERIICO
Aurélia Lamy, Université Lille 1, GERIICO
Brigitte Sebbah, Université Paris Est Créteil, Cecoppop/Largotec