Frédéric LAMBERT
Esthésie de la dénonciation. Albert Londres en Terre d’ébène
Le Temps des médias n° 26, Printemps 2016, p. 75-92.Publié tout d’abord dans Le Petit Parisien du 11 octobre au 11 novembre 1928, par épisodes, sous le titre Quatre mois parmi nos noirs d’Afrique, puis récrit et imprimé aux éditions Albin Michel en 1929 sous la forme d’un livre intitulé Terre d’ébène, le reportage d’Albert Londres est une dénonciation du colonialisme. Entre journalisme et littérature, entre témoignage et engagement politique, Albert Londres (...)
Il paraît que de haut notre planète est belle…
Le Temps des médias n°8, printemps 2007, p.171-176Ce petit texte quasi autobiographique a été publié en mars 2001 dans la revue Communications et langages. Il s’agissait alors d’interroger l’entreprise du paysage conçue par le photographe Yann Arthus-Bertrand. Son point de vue me donnait comme un léger torticolis à l’âme… Ce point de vue, cette plongée sur la Terre, signait la fin du Ciel. Nous ne regardions plus du bas vers le Très Haut, nous prospections, attaquions, surveillions, construisions, échangions du haut vers le bas. Cinq ans plus tard, mes remerciements vont à Hélène Eck qui me permet de refaire ce voyage…